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 histoires de mon pays

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karimc
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karimc


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MessageSujet: histoires de mon pays   histoires de mon pays EmptyJeu 22 Fév - 12:11

La visite de sidi rahal à marrakech

Celui qui se lève tôt pour prier et qui ne s’endort jamais avant de s’être adressé à allah, celui-ci deviendra un saint car il aura suivi les lois divine et se sera éloigné du Mal. Ainsi en était-t-il de sidi abd al rahal al boudali le voyageur qui savait reprendre son bâton et sa marche lorsqu’il sentait qu’il allait succomber à la facilité et au bien être de la vie sédentaire. Enveloppé dans son large manteau vert sidi rahal quitta le tafilalet au milieu de la nuit quand chacun était plongé dans le sommeil afin de ne pas être retenu par ceux qu’il avait comblé de ses bienfait par la grâce d’allah et qui n’auraient jamais accepté de se séparer de sa baraka. Il n’emportait avec lui qu’une poignée de dattes et une boule de graisse enfouies dans la jarre accrochée à la selle de son cheval. Pour le reste Dieu le pourvoyait en pain, les sources lui offraient la fraîcheur de leur eau et les arbres l’ombre de leur feuillage.
Sidi rahal chevauchait lentement, traversant les déserts durant la nuit et les montagnes pendant le jour, et s’arrêtant le temps qu’il fallait chaque fois que l’on implorait son aide.
Le saint homme avait recu de dieu le don de la métamorphose. En effet il pouvait se changer en femme pour s’adresser plus commodément aux femmes. Mais il pouvait aussi et surtout transformer les peines en joies. Et tout au long de son chemin il guérit les malades, remplit les besaces des pauvres et les lits des oueds désechés par le soleil, faisant fleurir les arbres morts et naître des sourires sur les visages tristes par la permission de Dieu.
Enfin par un beau matin, Sidi Rahal arriva à Marrakech au lever du soleil. Sa premiere visite fut pour Moul ksour le saint patron du quartier des ksours.
Moul ksour reçut sidi Rahal avec tout les honneurs dus à son confrère en dévotin, et le saint du tafilalet admira grandement l’amour des habitants de la vaste cité pour le saint des ksours.
Plusieurs jours s’écoulèrent ainsi, dans l’amitié et le respect mutuel. Or sidi rahal était à ce point aimé de Dieu que sa baraka brillait autour de lui comme une auréole.
Moul ksour observait cela avec une cetaine envie, et cette envie devint dépit lorsque ceux qui venait le voir auparavant s’empressaient désormais autour du saint du Tafilalet pour lui demander sa bénédiction et une projection de sa baraka . Moul ksour, célèbre pour ses miracles redoubla d’action d’éclats. Il plana plus haut que la koutoubia, s’envola bien plus haut que les palais fit courir les éclopés, redonna de la force aux vieillards.
Puis il retourna auprès de Sidi Rahal curieux de voir ce que se dernier avait pu imaginer afin de conserver son auréole.
Or Sidi Rahal était accroupi sur son tapis de prière, invoquant dieu l’implorant avec des yeux débordant de larmes. Quant à son auréole, elle rayonait d’une splendeur qui contraignait Moul ksour à se protéger les yeux. Alors Moul Ksour s’agenouilla à ses cotés et lui dit
_ Ecoute moi Aimé de Dieu ! Le tafilalet se plaint de ton absence. Les hommes du sud prétendent qu’ils sont les seuls avec le Mal depuis que tu es parti. Ta compagnie fut pleine d’agréments certes ! Mais je pense que tu devrais retrouver ton pays. Sidi Rahal hésita.
_Mais si tu tiens à rester ici, poursuivi Moul Ksour, je te demande d’oublier la clarté que te confère Dieu avec ta baraka et ton pouvoir sur les jnouns. Sidi Rahal fut très étonné en entendant les propos du saint marrakchi. Dieu avait crée la terre pour la donner à l’homme et il estimait que la ville de Marrakech n’appartenait pas plus à Moul Ksour que le Tafilalet n’appartenait à lui Sidi Rahal.
Alors il passa les nuits en prières, demandant à Dieu comment il devait agit. La modestie de sidi Rahal et l’orgueuil de Moul Ksours firent que Dieu déchaina les éléments.
Un orage s’abattit sur Marrakech, arrachant les arbres et rasant les herbes. Les oiseaux s’envolèrent efrrayés et quittèrent la ville. Moul Ksour et Sidi Rahal dont les long cheveux flottaient au vent s’enfuirent également et grimpèrent se réfugier au sommet de Toukbal. Moul ksour s’adressa à Dieu, criant en désignant Sidi Rahal
_ Chaque jardin porte un arbre, et cet arbre porte le nom d’un saint qui protège ce jardin par sa baraka avec la permission d’allah , lui donnant les plus belles fleurs et les plus beaux fruits. Chaque arbre est destiné par dieu à son jardin dont il ne sera jamais séparé, sinon le jardin dépérirait. Toi Sidi Rahal tu es destiné au Tafilalet ou un arbre porte ton nom. Sans ta baraka ton jardin mourra et tu seras responsable devant Dieu. A son tour la voix de Sidi Rahal s’éleva dans la tourmente
_ Tu as déchaîné la colère de Dieu, Moul ksour ! Tu oublies que si Dieu donne à ses awliyas le pain sacré il leur donne également la brebis qui doit paitre et vivre au milieu des autres troupeaux afin de leur apporter par sa présence la santé et une nombreuse progéniture. Lorsque le saint perd de sa baraka la brebis perd de son pouvoir et le troupeau manque de bêtes. Retourne à Marrakech et ou l’on a besoin de toi. Prie et apprends l’humilité, Dieu saura te récompenser. Quant à moi je continuerai mon chemin inchallah.
A son retour à Marrakech , Moul Ksour constata que les éléments s’étaient apaisés. Une pluie fine remplaçait l’orage et pénétrait la terre qui allait retrouver sa prospérité.
Sidi Rahal embrasse Moul Ksour et lui remit la datte de l’amitié. Puis il reprit son bâton et chevaucha jusqu'à ce qu’il arrive dans un village situé dans une région désertique. Il choisit cet endroit pour s’ établir et accomplir les actes de dévotions d’adoration en toute quiétudes.
Peu de temps après les oueds coulaient abondants et la terre donnait le blé le plus beau de la région. Et l’on dit encore que durant la longue vie des deux saints, citadins et paysans connurent une existence de bonheur exceptionnel dans la paix de Dieu


[b]
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karimc
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MessageSujet: Re: histoires de mon pays   histoires de mon pays EmptyJeu 22 Fév - 12:15

[color=cyan]Ahmed, mon fils

Un homme se sentait fort malheureux, car sa femme ne pouvait lui donner d'enfant. Il en épousa une autre, mais sa seconde femme ne le contenta pas d'avantage. Cet homme décida de s'éloigner de sa maison. Il trouverait bien quelque part un homme assez savant pour le conseiller sur la façon d'obtenir un fils.
Ses femmes lui préparèrent des provisions de route et lui souhaitèrent bonne chance. L'homme marcha inlassablement, confiant ses ennuis à ceux qui voulaient bien l'écouter. Mais personne ne put lui indiquer un remède, et il poursuivit sa quête de pays en pays.
Une nuit il aperçut un feu; Se dirigeant vers ce point lumineux, il viy un éfrit ayant pris l'aparence humaine à l'entrée d'une grotte, attisant les flammes de son foyer avec des branches de bois mort.
_ Peut tu m'accorder l'hospitalité ? lui demanda-t-il
L'éfrit acquiesca, et l'homme mangea et dormit le temps de reprendre ses forces. Le lendemain il apprit à son hote la raison de son voyage et lui demandea s'il connaissait le moyen d'obtenir des enfants de ses femmes.
L'éfrit promit d elui confier ce moyen, à une condition : qie le premier né de ses enfants lui serait offert, quand il atteindrait ses dix huit ans.
Après avoire hesoté l'homme accepta le marché. Alors l'éfrit lui dit :
Abandonne l'une de tes femmes! l'autre te donnera désormais tous les enfantd que tu désirera par la permission d'allah.
Rentré chez lui , l'homme répudia sa premiere femme et l'année suivante sa seconde femme lui donna un fils.
Seulement, il ne lui fut plus possible d'obtenir d'autres enfants malgré la promesse de l'éfrit car c'est allah qui l'avait décreté.
Lorsque son fils atteignit sa 18 eme année, l'homme l'emmena pour le montrer à l'éfrit mais avec l'intention de le ramener avec lui.
_ Je le garde car malgré ta promesse, je ne possède qu'un seul enfant ! lui reprocha-t-il.
_ Je te promets les autres, quand tu m'aura laissé celui ci, ainsi qu'il avait été convenu ! répliqua l'éfrit, à l'écart de l'adolescent qui n'entendait rien du marchandage.
Une fois de plus l'homme crut les paroles de l'éfrit. Mais comme il ne voulait pas voir le regard de son fils ni entendre ses question au moment oui il le lui donnerait, il résolut d'user d'un stratagème.
Il tira une tablette coranqiue de son capuchon et la tendit à l'éfrit en disant :
_ nous allons te quitter mon fils et moi. Sur notre route je dirais a Ahmed que j'ai oublié ici sa tablette coranique. Il reviendra la chercher, et c'est à ce moment que tu pourras t'emparer de lui.
Pourtant sur la route du reour le père affiligé d'avoir à se sé"parer de son fils bien aimé lui promit une autre tablette coranique, bien plus belle, pour remplacer celle qu'ils avaient oublié dans la grotte. Mais l'adolsecent tenait à sa tablette car elle lui avait été offert par un fquih descendant du prophète
, les promesses du père ne le firent pas changer d'avis. Il tira sur la bride de sa jument et parti au galop en direction de la demeure de l'éfrit.
De loin Ahmed apercevait deja le feut d ebois mort, lorsque sa jument lui cria:
_Ahmed ne t'aventure pas plus loin car l'éfrit attends ton retour pour décider de ton sort.
_ Jamais je n'abandonnerais ma tablette coranique aux mains d'un efrit !!!!! réponditr l'adolescent.
_ Et moi je ne pourrais pas continuer mon chemin car je suis très lasse et prête de mettre bas un poulain dit la jument.
Ainsi tu vas désormais compter sur ce poulain que tu nourriras de la moelle de mes os, afin qu'il devienne le plus beau, le plus rapide et le plus courageux des chevaux.
Ahmed écouta la jument. Il nourrit le poulainde cette moelle, et le jour même, le petit cheval se transformait en un merveilleux coursier piaffant d'imaptience jusqu'a ce que le garcçon ait sauté sur son dos.
Alors il reprirent le chemin de la grotte en se dissmulant derrière les arbres. Quand le feu de l'éfrit leur sembla proche, le poulain dit à l'adolescent :
_ Echauffe-moi et tiens bien les rênes! Je vais m'élancer tel un oiseau et tu t'emparera de la tablette au vol, car je ne m'arreterais pas dans cette endroit ou t'attends l'éfrit
Cela se déroula ainsi. Ahmed saisi la tablette au vool, et ils s'enfuirent avec l'espoir de rattraper le pauvre père qui devait se lamenter sur la perte de son fils.
Cependant l'éfrit qui avait assisté à la scene sans pouvoir intervenir, se lanca à leur poursuite en criant :
_ Ahmed mon fils ! Qu'as tu donné à ton cheval, pour qu'il courre aussi vite ?
Se retournant Ahmed répondit qu'il le nourrissait de cailloux de ce chemin.
L'éfrit se mit alors à dévorer tout les cailloux qu'il rencontrai, pensant obtenir la même vigueur que le cheval à la course.
Mais comme son poids s'alourdissait et que sa rapidité disparaissait il cria encore :
_Ahmed, mon fils que donne tu à ton cheval en dehors des cailloux de ce chemin ?
_ Des brindilles de bois, répondit l'adolescent.
Alors l'efrit se gava de pierre et de brindilles de bois jusqu'a ce qu'il éclata
Et voila pour lui !
Quant au garçon et à son coursier, ils continuèrent de la sorte, ne s'arrêtant qu'au pied d'une source ou ils se désaltérèrent et reprirent quelques forces.
Or, cette source s'échappait d'un rocher, et sur ce rocher, Ahmed fut surpris d'entendre un oiseau multicolore qui chantait des versets du coran.
Il s'approcha pour mieux écouter, et sa surprise redoubla quand il se rendit compte que ses versets étaient extravagants, pour passés à travers le mirroir déformant l'eau de la soucre, qui perdait de sa limpidité avant d'être absorbée par la terre.
Ahmed pris sa tablette et commenca à écrire ce que chantait l'oiseau.
_Ahmed ! s'écria le cheval, je te supplie d'oublier ce qye tu viens d'entendre et de l'effacer de la tablette, sinon il nous arrivera malheur ! Monte sur mon dos je t'en conjure et partons !
Le garçonsauta sur le cheval. Mais il avait glissé sa tablette dans ses bagages, sans avoir put se résoudre à effacer les étranges versets...
Bientot ils arrivèrent dans une villes aux nombreux minarets et s'apprétèrent à y passer la nuit.
Ahmed entra dans une mosquée, se prosterna et lut à haute voix les versets du Coran qui 'avait écrit sur la tablette. Près de lui deux hommes priaient.
Lorsqu'ils entendirent cette bizarre retranscription du Livre Saint, ils replièrent leur tapis de prière et allèrent prévenir le roi de l'incorrection de ces versets. Le roi fit immédiatement convoquer l'adolescent au palais, et l'adujra de lui lire cette version du Coran. Puis quand il l'eut entendue, il l'interrrogea sur sa provenance.
_ C'est un oiseau arc en ciel qui m'a dicté ce passage du Livre Saint, répondit Ahmed. Il était perché sur un rocher au dessus d'une source......
Le roi ordonna à l'adolescent de lui amener immédiatement cet oiseau s'il ne voulait pas avoir la tête coupée.
Ahmed vint conter son tourment à son cheval qui lui reprochaz d'avoir préferé les chants de l'oiseau à ses propres conseils.
_ Maintenant, il faut que tu retournes chez le roi. Demande lui un pot de terre rempli de miel. En échange, promets lui de rapporter l'oiseau. Ainsi fut fait.
En arrivant à la source, ils déposèrent le pot rempli de miel sur le rocher. L'oiseau multicolore ne tarda pas à se montrer. Il survola le rocher, puis s'y percha. Ahmed se boucha les oreilles pour ne pas entendre son chant. Mais il observait l'oiseau qui venait d'apercevoir le miel et s'en approchait.
Le pot de terre était large et profond, le miel épais. Aussi, lorsque l'oiseau voulut y gouter, il se prit le bec puis les pattes puis les ailes. Tant et si bien que le garçon n'eut besoin d'aucun lien pour ramene l'oiseau chez le roi.
_ Je veux connaitre le nom du fiqh qui t'as enseigné ces versets sacrilèges!clama ce dernier. Sinon tu auras la tête coupée !!
_ C'est le serpent de mer ! répondit l'oiseau. Je dormais dans les arbres qui bordent le rivage. Le serpent chantait ces versets pendant mon sommeil et à mon réveil mon esprit les avait retenus.
Le roi innocente l'oiseau. Mais il fit de nouveau appeler Ahmed.
_ Pars à la recherche du serpent de mer ! si tu me le ramènes, je te promets ma fille en mariage, mais si tu reviens seul tu auras la tête tranchée!
Le garçon retourna auprès de son cheval en se désolant de son infortune.
_ J'ai pu retrouver l'oiseau arc en ciel mais jamais je ne parviendrais à ramener le serpent de mer !
Le cheval le rassura une fois de plus
_ Conduis moi au delà des murs de la ville. Il y'a près d'une porte que je connais une terre argileuse dont tu m'enduiras entièrement le corps . Mais prends garde à ne pas omettre une seule partie de mon corps !
Ahmed fit ce que le cheval lui avait recommandé.
Pourtant dans sa précipitation, il oublia de passer de l'enduit sur l'épaule droite de son cheval.
Ils s'élancèrent jusqu'à la mer et guettèrent les remous qui agitaient les vagues. Soudain le cheval s'écria :
_ Le serpent de mer se trouve à l'endroit ou la mer ne brille plus. Je vais plonger. Si tu vois remonter de la terre blanche à la surface de l'eau c'est que j'aurais réussi à le saisir, mais si la terre et rouge sauve toi et pars te réfugier dans un pays étranger afin d'échapper à la justice du roi !!

Le cheval plongea dans la mer et Ahmed attendit sur le rivage.
Bientot de la terre blanche apparut à la surface de l'eau et l'adolescent se réjouit.
Mais peu après, ce fut de la terre rouge qui surnagea.
Ahmed tomba à genoux dans le sable et pleura sur la mort de son cheval.
Pourtant tandis qu'il se lamentait l'eau jaillit à quelques pas de lui et son cheval surgit l'épaule ensanglantéée avec le serpent entre les dents.
Et c'est ainsi qu'ils se montrèrent au palais du roi.
Fidèle à sa promesse, le roi offrit sa fille à l'adolescent ainsi que son plus beau palais et une grande partie de ses richesses
Ahmed pouvait aller rassurer ses parents qui le croyaient morts et passaient leurs jours et leurs nuits à pleurer.
Il les ramena en un cortège magnifique jusqu'a la ville ou ils vécurent ensemble de longues et heureuses années.
Quant au serpent il fut punit comme l'on sait pour avoir transformé le coran ainsi que seul un chitan ou un mécréant pouvait le faire[u]
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MessageSujet: Re: histoires de mon pays   histoires de mon pays EmptyJeu 22 Fév - 12:17

Le singe équitable


Un marchand s'était enrichi par le seul commerce du petit lait. Un jout qu'il venait de monter à bord d'un bateau en compagnie de son singe, celui ci s'empara de la sacoche de son maitre et la vida de son or dont il fit une pile. Ensuite, il prit une pièce qu'il jeta à la mer, puis une seconde qu'il remit dans le sac et ainsi de suite jusqu'a la derniere pièce.
Le marchand qui se promenait sur le pont du bateau le vit de loin choisir les deux derneire pièces, laissant tomber l'une d'elles dans la mer et confiant l'autre à la sacoche.
Furieux il se précipita vers le singe afin de le corriger, lorsqu'un voyageur qui avait assisté à la scène lui saisit le bras
_Pourquoi arreter mon geste ? s'étonna le marchand. Je m'apprétais à administrer à cette animal privé de raison la correction qu'il mérite!
_Pour moi qui n'ai jamais vu autant d'or répliqua l'homme, j'aimerais d'abord que tu me confie en bon frère et compagnon de voyage le secret de sa provenance!!

Il n'ya pas de mystère pour cet or! répondit le marchand. C'est en vendant du petit lait comme il en existe partout !
_ Mais ce petit alit devait contenir un ingrédient qui en faisait toute sa richesse et allait contribuer à la tienne ? insista l'autre.
_ Certes la valeur que tu accordes à l'eau dont je coupais mon petit lait est fort plaisante !s'esclaffa le marchand avouant ainsi son forfait.
Perplexe, le compagnon de voyage questionna.
Et puis je savoir quelle quantité d'eau tu rajoutais à ton petit lait ?
_ Je le coupais de moitié d'eau ! fit le marchand.
Le sage voyageur observa un instant de sinlence puis conclut :
_ Alors pourquoi reprocher à ce singe de vouloir respecter la vérité, en ne concervant dans ta sacoche que les pièces gagnée honnetement ?
Dis toi bien qu'il était normal que l'argent de l'eau retourne à l'eau[b][u]
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